Nicolas Martignole, Architecte Java/J2EE et membre du Paris JUG, nous fait part de ses impressions après lecture du livre de Florent sur Android : http://www.touilleur-express.fr/2009/12/06/retour-sur-le-livre-android-par-florent-garin/

Nicolas Martignole, Architecte Java/J2EE et membre du Paris JUG, nous fait part de ses impressions après lecture du livre de Florent sur Android : http://www.touilleur-express.fr/2009/12/06/retour-sur-le-livre-android-par-florent-garin/

Découvrez le tutoriel écrit par Florent sur Développez.com pour créer un client XMPP Android : http://florentgarin.developpez.com
L’hébergeur bien connu OVH propose, sur ses serveurs dédiés, un large choix d’OS parmi lesquels figure une distribution Linux pré-conçue pour accueillir des environnements virtualisés. Il s’agit en fait d’une Debian Etch 4.0 32bit avec VMware server 1.08 configuré pour tourner au-dessus. Pour ceux désireux d’affecter leur machine à un usage exclusif de host VMware et voulant privilégier les performances il faudra plutôt choisir l’OS VMware ESXi qui lui est un hyperviseur natif.
J’ai très récemment eu à mettre en place un serveur virtualisé Windows 2003 sur la distribution « VMware server » d’OVH. A cette occasion, j’ai constaté que les guides de l’hébergeur manquaient quelques peu de précisions et, qui plus est, sur des éléments capitaux.
Les tutoriels en question sont les suivants :
http://guides.ovh.com/vmware
http://guides.ovh.com/AjouterAliasIp
OVH, pour des raisons de sécurité, interdit l’usage du « bridged networking », nous avons donc le choix entre le « NAT » et le « host-only » où grâce à une IP failover le guest aura pleinement accès au réseau.
Même si en principe le choix du mode de connexion peut être changé par la suite, sélectionner malencontreusement le mode « bridged networking » engendre des modifications dans plusieurs fichiers de configuration qui s’avèrent difficile à défaire même en corrigeant l’option réseau. Il faut donc bien veiller à ne jamais choisir le mode « bridged networking » sur un serveur OVH.
Le paramétrage de la machine host ne pose pas de difficulté particulière. Là où ça se corse, c’est au niveau du guest Windows 2003 Server. Le tutoriel OVH oublie de mentionner un paramètre essentiel : la passerelle de la machine guest doit être elle-même, c’est à dire, elle doit avoir pour valeur l’IP failover qui est également l’adresse de la machine guest ! Ainsi va la virtualisation, la machine guest se sert du host pour communiquer avec le monde extérieur, toutefois cette configuration qui peut sembler étrange dans un contexte plus classique aurait méritée d’être ici explicitement notifiée.
Découvrez l’interview de Florent réalisée par la communauté Frandroid :
[Frandroid] Interview Florent Garin Partie 2 : Android vu par un professionnel
[Frandroid] Interview Florent Garin partie 3 : Le livre
Un grand merci à Jorodan.
Un grand merci à Olivier Rafal pour son article dans le MondeInformatique à l’occasion de la sortie du livre de Florent sur Android :
Après une période d’inactivité importante due à un beau projet Pierre et Vacances et l’écriture d’un livre sur Android, je reprends ce blog en main !
Je suis tombé dernièrement sur une comparaison des performances entre JavaFx, Flex et Silverlight. Bien que je ne sois pas tout à fait certain de la validité des résultats, il semblerait à vue de nez que JavaFx s’en sorte très honorablement.
Pourtant, je ne pense pas que dans son état actuel, cette technologie pourra décoller.
Le problème n’est pas qu’il faille réapprendre un nouveau langage de script, après tout même si cela demande un petit effort au départ, l’avantage de bénéficier d’un langage (DSL) spécifique à la définition d’interfaces graphiques devrait au final l’emporter.
Le souci n’est pas non plus l’absence d’outils orientés design car Production Suite devrait convenir à la plupart d’entre nous.
Non, le défaut majeur de JavaFx est son manque de discrétion : le temps de démarrage est beaucoup trop long et sans rapport avec Flash, la petite icône Java qui apparait dans la barre de notification est gênante car elle nous rappelle que « quelque chose » se lance, les fenêtres de sécurité sont invasives (heureusement aujourd’hui crossdomain.xml est en partie supporté) et enfin l’expérience utilisateur de l’installation du runtime et des mises à jour de la JVM, avec sa publicité Open Office et sa toolbar Yahoo, plus que moyenne.
A mon sens, tant que ces inconvénients ne seront pas corrigés, il y a très peu de chance qu’émerge un « youtube » s’appuyant sur JavaFx et cela quelles que soient les autres qualités de la plateforme.
Avec Dassault Systèmes, nous initions notre premier billet de cette nouvelle catégorie qui est « Nos clients ».
C’est un des plaisirs de notre activité ; nous sommes amenés à entrer au sein de diverses entreprises aux métiers très différents. Par exemple, notre dernier client SaaS (l’offre hébergée de notre l’outil collaboratif) est l’institut de massages traditionnels asiatiques Maxam.
Aujourd’hui, l’entreprise présentée est donc Dassault Systèmes. DS est une filiale du groupe Dassault, le célèbre fabriquant d’avions de chasse. DS est un éditeur de logiciels, il s’agit d’ailleurs du numéro 1 français, loin devant les autres. Leur cœur de métier est la 3D et l’un de leurs produits phares est le fameux logiciel de design Catia.
Catia est utilisé par de nombreux industriels dans le monde pour concevoir leurs produits : Airbus, Boeing, PSA, Toyota…
Dernièrement, au travers de leur nouvelle marque 3DVia, Dassault Systèmes a opéré une diversification intéressante, ils se lancent sur le marché grand public et ambitionnent de démocratiser la 3D.
Le site 3dvia.com est un espace communautaire, où les internautes peuvent faire partager leurs créations, c’est l’équivalent de youtube ou dailymotion mais pour la 3D.
Bref, Dassault Systèmes est une société innovante, en bonne santé financière (ceux qui étaient présents à la grandiose soirée d’inauguration de leur campus fin 2008 n’en ont aucun doute) et pour une fois elle n’est pas américaine !
Il y a quelques jours lors d’un déjeuner avec Jean-Marie Damas (un des organisateurs de l’Agile Tour), nous avons évoqué le framework Eclipse RAP (Rich Ajax Platform).
Ce framework n’est pas vraiment tout nouveau et finalement si discret qu’il n’est pas très connu.
L’idée de RAP est d’être le pendant de RCP (Rich Client Platform) dans le monde Web. Il fournit le même environnement « Workbench » et les applications RAP sont implémentées avec les mêmes APIs SWT et JFace que celles tournant sous RCP.
Cette approche universelle peut séduire mais elle me rappelle un peu trop de nombreuses autres tentatives de grand écart qui se sont soldées pour la plupart par des échecs. JDO (Java Data Objects), par exemple, voulait offrir une API unique de persistance et cela quelque soit le système de stockage sous-jacent (BD, XML, fichiers à plat…).
Si l’on souhaite obtenir le meilleur de la plateforme d’exécution il n’est pas souhaitable de concevoir une application web comme une application lourde, une application de bureau comme une application pour mobile…La liste est longue !
Ca y est, Toulouse a dorénavant son JUG !
Il était anormal qu’une ville avec une telle concentration de sociétés technologiques n’abrite pas de Java User Groups.
Pour ceux qui ne le savent, l’idée des JUG est de réunir les utilisateurs et les développeurs de Java dans un esprit d’échange et de convivialité. Nous organiserons des conférences gratuites et ouvertes à tous où seront faites des présentations techniques.
La première est prévue autour de mars/avril, le temps de trouver des sponsors et de mettre en place la logistique.
N’hésitez pas à vous inscrire sur le site ou à nous contacter pour participer.
A bientôt.
Nous vous souhaitons une excellente année 2009.
Qu’elle soit l’année de réussite de tous vos projets personnels et professionnels !!
En faisant le ménage sur mon PC, je suis tombé sur cette photo que j’avais prise lors de mon séjour au mois de janvier chez eBay.
La raison de ma venue chez eux était liée à eBox.
Sans pouvoir donner beaucoup de détails pour cause de NDA, eBox est un framework extrêmement ambitieux. Le calendrier initial prévoyait la sortie de la version 1 pour 2008 avec certains modules en open source.
Hélas, l’année s’achève et quand on recherche « ebay ebox » sur google on ne trouve rien de plus récent que 2007 !
J’espère que cela n’est pas le signe d’un deuxième Krach Internet, j’ai rencontré chez eBay des gens passionnants dont les travaux m’ont souvent impressionné et j’aimerais bien en parler !
Comment installer glassfish en tant que service sous linux ?
Contrairement à Windows, installer n’importe quelle application sous forme de service n’est pas très compliqué sous un OS de type Unix.
Le billet suivant explique clairement la démarche à adopter.
Malheureusement, un petit hic survient quand on souhaite faire tourner glassfish sur le port 80.
Sous linux, il est purement et simplement impossible de configurer glassfish sur le port 80 si celui-ci ne tourne pas avec le compte root ce qui est toujours regrettable pour des raisons évidentes de sécurité.
Confronté à ce problème, j’ai tout d’abord envisagé (comme à la grande époque de Tomcat) de positionner un apache écoutant sur le port 80 devant glassfish qui serait lui sur le 8080. Je me suis aussi dit qu’au passage grâce à apache je pourrais faire du « Virtual Hosting » et utiliser les quelques applications php dont nous avons besoin.
Cependant, un tour sur internet, a vite calmé mes ardeurs. Les nombreux commentaires de ce post n’encouragent pas à la confiance.
Finalement, après mûre réflexion, j’ai choisi de laisser glassfish s’exécuter avec le compte root. Hormis cet inconvénient qui je l’espère ne tardera pas à être corrigé, les fonctionnalités natives de « Virtual Hosting » de glassfish, l’architecture modulaire OSGi de la version 3 et le repositionnement de la JVM comme une plateforme multi-langage me font penser que glassfish pourrait bien également concurrencer apache !
Cette nouvelle version propose en effet de nombreuses nouvelles fonctionnalités :
N’hésitez pas à tester DocDoku en créant simplement et gratuitement votre compte DocDoku ici.
Ce message fait suite à mon précédent billet concernant le download et surtout l’upload de fichiers par Web Services SOAP.
Le bug 29 du projet jax-ws a bien été résolu, avec un petit bémol car la correction ne fonctionne qu’avec les Web Services à base de Servlet et non ceux basés sur les EJB Session. Cependant, pour transférer les données binaires MTOM utilise un transfer-coding de type chunked. Il s’agit d’une fonctionnalité d’HTTP 1.1 permettant d’envoyer ou de recevoir une requête HTTP par morceau.
La version 1.1 du protocole HTTP est vieille de plus de 10 ans. Malheureusement, dans de nombreuses organisations, sévissent encore des proxies web ne supportant que la version 1.0 !
Du coup, il n’est plus possible d’appliquer la propriété JAXWSProperties.HTTP_CLIENT_STREAMING_CHUNK_SIZE sur le proxy du client. On se retrouve alors avec le problème initial ; on risque le « out of memory » côté client en téléchargeant sur le serveur (upload) un fichier volumineux.
Enfin, que les utilisateurs de DocDoku se rassurent, par défaut les échanges de fichiers se font par Web Services MTOM et en cas d’environnement réseau hostile (proxy http 1.0) le client bascule automatiquement dans un mode HTTP basique (multipart/form-data).
DocDoku a adopté une approche orientée service. Concrètement cela veut dire que toutes les actions accessibles par l’interface graphique le sont aussi par notre API WebServices.
Les url des wsdl sont les suivantes :
Pour interroger ou soumettre des commandes (réserver un document par exemple):
http://www.docdoku.net/webservices/DocDoku?wsdl
Pour le service de téléchargement de fichiers:
http://www.docdoku.net/UploadDownloadService?wsdl
Ces opérations sont réalisées sur l’environnement de démonstration « mydocdoku ».
C’est à l’occasion de la conférence internationale JavaOne organisée par Sun que nous avons officiellement annoncé notre passage en Open Source : GlassFish Technology Partner Showcase.
Vous pouvez désormais vous joindre à notre communauté.
De nouvelles fonctionnalités sont en effet désormais à votre disposition :
N’hésitez pas à découvrir toutes les fonctionnalités de DocDoku sur notre site, dans la rubrique produit.
Vous pouvez également tester DocDoku en créant simplement et gratuitement votre compte DocDoku ici.
JavaOne s’est déroulé au début du mois à San Francisco. Cette conférence a mis à l’honneur Glassfish, le serveur d’application JavaEE Open Source de Sun, avec le lancement du GlassFish Technology Partner Program dont nous faisons partie. Ce partenariat matérialise notre expertise de la plateforme Java en général et de Glassfish en particulier.
L’autre technologie majeure présentée à JavaOne fut JavaFX. Beaucoup pensent que JavaFX arrive trop tard et qu’il ne pourra pas trouver sa place face à des concurrents comme Flash notamment. Pour ma part, je suis convaincu du contraire.
Le succès de Flash est éclatant et cela est largement justifié : très grande facilité de déploiement, temps de démarrage à froid impressionnant, qualité des outils de production, des codecs vidéo…
Néanmoins, dans le cadre du développement d’une application d’entreprise disposer d’un langage aussi riche que Java sur le client, surtout s’il est aussi utilisé sur le serveur, est un énorme avantage. Si JavaFX continue de progresser et que la version finale de Java SE 6 Update 10 tient toutes ses promesses, je recommanderai JavaFX et non Flex à nos clients industriels.
Voilà un certain temps que Thomas m’a filé une invitation pour essayer Goojet et que je m’étais dit qu’il fallait que je poste sur le sujet.
Goojet est, avant tout, une application pour téléphone portable. Son ambition est de devenir le portail de votre mobile. L’innovation de Goojet tient à son approche hybride : web/téléphone. Vous pouvez en effet utiliser Goojet depuis votre ordinateur puis synchroniser l’état de l’application sur votre mobile.
Au delà de sa levée de fond, la force de Goojet réside dans la qualité de son équipe. Projet à suivre assurément, en plus c’est une startup Toulousaine !