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AWS IoT Greengrass et NBitcoin au menu du 3ème ApéroTech DocDoku

Le 27 juin dernier avait lieu la 3ème édition des ApéroTech dans nos locaux de Toulouse.

Au programme, présentation de 2 thèmes portés par des collaborateurs passionnés, suivie par un bon moment de convivialité en ce début d’été.

AWS IoT Greengrass

Premier thème abordé : comprendre ce qu’est le Edge Computing et ses applications.
Passionné de nouvelles technologies et persuadé des applications prochaines de l’internet des objets, Pierre a donné aux participants les clés de cette notion et présenté en cas d’usage le fonctionnement de Greengrass ou comment intégrer AWS dans un contexte IoT.

A la découverte de NBitcoin

Benjamin a ensuite guidé les participants dans la découverte de #NBitcoin pour #Csharp : de la construction d’une transaction Bitcoin à son transfert, puis à sa diffusion sur le réseau.  Au delà de l’usage en tant que cryptomonnaie, les perspectives de cette technologie sont très variées et l’assemblée a pu découvrir d’autres applications innovantes du Bitcoin.

Merci à nos deux talentueux orateurs et rendez-vous à la rentrée pour un prochain ApéroTech.

Bel été à toutes et tous !

DocDoku présent sur Techinnov Paris-Orly

Le 8 février prochain, DocDoku sera présent lors de la 12ème journée Techinnov, placé sous le signe du business et de l’innovation.

Venez rencontrer nos équipes pour entrer dans l’ère des Smart Data en toute agilité !

Date : Jeudi 8 février 2018 de 
Lieu : Paris Orly Terminal Sud

En savoir plus

A la recherche de ressources sur la transformation par les données ?

Toute la team DocDoku vous présente ses meilleurs voeux !

Laissez-nous vous inspirer en ce début d’année avec le top 4 des articles du blog pour vous accompagner dans votre réflexion stratégique :

Comment construire un pilotage de qualité, centré sur les données ?
> 6 clés pour mettre en place votre management par les données

Quelles sont les composantes indispensables au succès ?
> Transformation digitale : l’expertise ne suffit pas !

Découvrir les meilleurs outils de gestion collaborative, orientés temps réel et partage.
> Entreprise étendue : bien choisir sa plateforme de Data Management

Comment l’IoT peut transformer mon business ?
> Acquisition des données et IoT

Et si vous avez choisi d’activer votre transformation dès le premier semestre 2018, rejoignez dès maintenant la communauté QuickEval !

DocDoku référencé par le pôle Innovation de l’UGAP

Le pôle Innovation de l’UGAP (Union des groupements d’achats publics), première centrale d’achat publique française, a choisi d’intégrer DocDoku à son référencement des logiciels multi-éditeurs par l’intermédiaire de son partenaire SCC, leader des solutions de service d’infrastructures informatiques.
Notre plateforme de digitalisation des métiers  et process ainsi que l’ensemble de nos savoir-faire sont à présent plus visibles et immédiatement accessibles pour l’ensemble des acheteurs publics français – administrations et établissements publics de l’Etat, collectivités territoriales, établissements publics de santé et secteur social.

Ce référencement intervient dans le contexte actuel de mutation des organisations qui cherchent à se transformer en digitalisant leurs métiers afin de maîtriser leurs dépenses tout en soutenant les acteurs français de l’innovation.

La plateforme DocDokuPLM dispose des briques essentielles à l’innovation collective, en mesure de répondre aux enjeux de transformation des organisations dans toutes leurs spécificités. Nos capacités permettent ainsi de répondre à des besoins aussi divers que :

Intelligence artificielle et Smart Data


Définition et vision actuelle

On regroupe sous la dénomination « Intelligence artificielle » plusieurs disciplines : le Machine Learning, la Robotique, l’IA faible et forte ou encore le traitement du langage.
L’Intelligence artificielle bénéficie aujourd’hui de nombreuses initiatives au niveau mondial que cela soit en France, aux Etats-Unis ou encore en Chine.

Du point de vue des acteurs concernés, l’IA n’est pas encore là en tant que telle : on assiste pour le moment au développement toujours plus complexe de moteurs de règles. La preuve par le retour d’expérience des acteurs interrogés : certaines corrélations entre données n’ont parfois aucun sens au final.

L’usage des Smart Data

Soutenu par des moteurs de règles, il consiste, à partir des données collectées, à engager la bonne action, vers la bonne personne, au bon moment.

Le secteur bancaire, par exemple, dispose actuellement de programmes permettant de préparer automatiquement en amont un rendez-vous client en agence, avec des recommandations d’actions pour que l’échange commercial se passe en cohérence avec le persona (profil) du client et ait le plus d’impact possible. Le système peut également suggérer au conseiller de collecter de nouvelles données dont l’usage a été démontré par le passé.
Toujours dans le domaine commercial, l’IA ne remplacera jamais le commercial mais offre des applications permettant une meilleure mutualisation des données liées au Client pour cibler les actions et éviter les sollicitations inutiles.

L’Humain, au coeur de la démarche

En définitive, l’enjeu est de disposer de contenus Métier qui viennent se mêler à l’intelligence des algorithmes. Le Machine Learning, par exemple, ne fonctionne qu’en présence d’un très grand nombre de données et de l’Humain pour les corriger. L’IA peut apporter des améliorations en terme de qualité et de productivité mais ne peut s’affranchir de la connaissances des experts.
Au delà de la qualité des données et de la pertinence des règles, la conduite du changement auprès des équipes est le premier pilier indispensable pour accompagner l’Entreprise dans cette transformation.

Cet article a été rédigé suite à notre participation aux conférences des salons Solutions 2017.

Big Data, BI et prises de décision stratégique

Du 26 au 28 septembre dernier, le salon Solutions 2017 réunissait plus de 200 exposants à Paris autour de 5 thématiques clés de l’IT : ERP, Dématérialisation, CRM et Marketing, BI/Big Data et e-achats. L’innovation était au coeur des 75 conférences et tables rondes.
Zoom sur un condensé des plus #smartdata d’entre elles.

La définition du Big Data peut être très différente d’un acteur à l’autre mais tous se rejoignent pour affirmer que l’arrivée du cloud a transformé la mise en place de solutions, en apportant une très nette diminution des coûts et une hausse des capacités de stockage, au regard de la multiplication exponentielle des données générées.

A la question peut-on catégoriser les data par type, la réponse est claire : une donnée peut être structurée – cas des indicateurs de suivi classique par exemple – ou non structurée – cas des logs d’un parcours client, des sources images/vidéos disponibles sur un site…
Le principe aujourd’hui est de stocker le maximum de données, même si leur usage n’est pas pour le moment défini. En ce sens, la BI est résolument tournée vers le futur.

L’indexation des données est très importante car elle garantit la future pertinence des résultats de recherche et évite l’écueil de la réplication des données qui peut avoir lieu dans certaines circonstances.

En ce qui concerne les enjeux de tout projet BI, les intervenants ont souligné l’importance de la gouvernance – la responsabilité de la DSI dans le projet – plus que la résolution de problématiques de stockage des données qui pouvaient être un frein il y a encore quelques années.

L’objectif d’un projet BI n’est plus d’extraire les données, mais de modéliser les processsus d’entreprise, amener la compréhension de la construction des modèles de données pour savoir mettre en valeur les éléments qui suscitent la prise de décision.

Il est essentiel d’associer l’ensemble des métiers dans l’accessibilité aux données pour que chacun participe à l’amélioration de l’expérience – qu’elle soit B2B ou B2C. Il a été enfin souligné l’interêt particulier de travailler avec des données « vivantes » comme c’est le cas par exemple dans les projets de systèmes embarqués.

Pour illustrer les domaines d’application du Big Data, on pourra évoquer l’analyse prédictive avancée : une team de football américain équipe ses joueurs avec des capteurs qui remontent en temps réel leurs constantes physiques et physiologiques, permettant d’éviter les blessures avant qu’elles ne surviennent.
Autre usage : le cas des « Smartcity », où les organismes publics peuvent agir en direct en fonction des réactions de leurs concitoyens.

Enfin, il a été rappelé qu’un nouveau règlement européen, concernant autant les données clients que les données collaborateurs – va entrer en application en mai 2018 et aura un impact non négligeable sur la gestion des données.

 

Retrouvez-nous au 12ème forum technique des membres d’aerospace Valley

DocDoku participe au 12ème forum des adhérents

Du 16 au 17 mai 2017 se tiendra le 12 ème forum des adhérents d’Aerospace Valley, DocDoku y participera et y sera exposant.

« Digitalisation, quels risques, quelles opportunités pour nos filières ? »

C’est le thème du forum de cette année qui se tiendra au palais des Congrès d’Arcachon. Un thème majeur pour notre société puisque notre coeur de métier est la digitalisation des processus et des données métier des organisations.
Ces sera en effet l’occasion pour nous de présenter notre accélérateur de transformation digitale en notre plateforme open source DocDokuPLM.
N’hésitez donc pas à nous retrouver sur notre stand afin d’échanger sur vos enjeux et vos projets digitaux.
Pour plus d’informations sur le programme, rendez-vous ici sur le site d’Aerospace Valley.

DocDoku sera présent sur Smart Industries 2016, salon de l’industrie du futur

bannière de smart industries

Du 6 au 9 décembre 2016, se déroulera la deuxième édition du salon Smart Industries à Paris Nord Villepinte. DocDoku y participera pendant quatre jours pour oser avec vous l’industrie du futur.

Smart Industries c’est quoi ?

Smart Industries est un salon qui rassemble 300 exposants et 7000 visiteurs autour de 9 parcours thématiques sur l’industrie du futur. C’est également des conférences de qualité, des dizaines de start-up, des démonstrateurs, un grand concours pour les jeunes… le tout parrainé par la présidence de la république et encouragé par l’Alliance pour l’industrie du futur.

Présentation de la plateforme DocDokuPLM

DocDoku y présentera sa plateforme open source DocDokuPLM et ses nouveautés.
Modulaire et digitale, elle conviendra à toutes les organisations industrielles qui rêvent de gagner en productivité.
En effet, notre plateforme permet d’orchestrer les processus industriels, de structurer les données et collaborer efficacement.
N’hésitez-pas à venir nous rencontrer sur notre stand dans le hall 7 stand F25.

Infos pratiques et chiffres clés sur Smart Industries 2016 :

  • Vous pouvez vous inscrire gratuitement ici
  • Du 6 au 9 décembre 2016 à Paris Nord Villepinte (plan d’accès au parc ici)
  • 300 exposants
  • 7 000 visiteurs attendus
  • 1 espace simulation
  • 1 Connect+ Event autour des enjeux de l’IoT

Retour sur l’EclipseCon France 2016 (partie 2)

eclipsecon

Cet article fait suite à celui de Bertrand, afin de détailler certains sujets et présenter d’autres sessions auxquelles j’ai eu l’opportunité d’assister.

iotConnecting low power IoT devices with LoRa, MQTT, and The Things Network

De mon point de vue, l’IoT était vraiment à l’honneur cette année à Toulouse, notamment par la présence de The Things Network, ayant été invité par la Fondation Eclipse à donner un workshop et à tenir la première Keynote de la conférence.

Comme l’a mentionné Bertrand, cette équipe venue tout droit d’Amsterdam est en train de fédérer des communautés du monde entier autour de leur réseau dédié aux objets connectés, basé sur la technologie LoRa.

Alors qu’est-ce que LoRa ? Et qu’est-ce que The Things Network ?

LoRalora

D’après le site de la LoRa Alliance (traduit par mes soins) :

LoRa est un diminutif pour LoRaWAN™: Low Power Wide Area Network (LPWAN).

LoRa est donc une spécification de communication sans fil basée sur les fréquences radio ISM (https://en.wikipedia.org/wiki/ISM_band).

Cette technologie est tout particulièrement adaptée comme couche de communication pour les objets connectés en ce qu’elle permet la localisation et la mobilité des appareils, à basse consommation, sans grosse installation de départ, ainsi qu’une communication bi-directionnelle.

Avec une simple antenne disposée en haut d’un immeuble en milieu urbain, ou dans un environnement plus dégagé, LoRa permet de connecter un nombre impressionnant d’appareils sans dégradation, bien plus qu’un routeur sans fil (WiFi, Bluetooth) et en consommant bien moins d’énergie et en étant moins onéreuse qu’un routeur 3G par exemple.

Quelques exemples d’utilisation:

  • Réseaux électriques : prédire la consommation et produire de l’électricité en fonction des besoins réels
  • Logistique : livraison avec une localisation plus précise
  • Transport : appels d’urgence automatisés
  • Santé : appareils de mesure de constantes
  • Et tellement plus…

LoRa est en concurrence avec la technologie SigFox, que nous connaissons bien à Toulouse. Cependant son approche est différente, puisqu’à la différence de la technologie SigFox qui est propriétaire et induit des coûts de license, la spécification LoRa est libre.

Quelques relevés ayant été effectués par l’équipe de The Things Network, et autres caractéristiques :

  • Environnement urbain dense : 500m à 3km
  • Environnement rural : 10-50km (jusqu’à 92km lorsque très dégagé)
  • Jusqu’à 10.000 appareils par routeur
  • Jusqu’à 3 ans d’autonomie (à prendre avec des pincettes)
  • Très basse consommation (et pas de « handshake »)
  • License libre, en envoi et réception
  • Pas de pré-requis à l’installation d’un tel réseau
  • Couverture multiple (plusieurs routeurs peuvent relayer l’information).

Les appareils se connectant au réseau LoRa peuvent être classés en trois catégories :

  1. Liaison montante uniquement, l’appareil initie la communication et le serveur peut y répondre.
  2. L’appareil et le réseau se synchronisent sur une « fenêtre de tir » afin d’échanger des données.
  3. L’appareil est en écoute constante du réseau.

Evidemment les classes d’appareils influent sur leur consommation.

The Things Networkttn

The Things Network est une initiative née à Amsterdam, pour construire un réseau mondial et libre permettant la communication entre objets connectés.

Après une campagne de crowfounding, les membres de l’équipe ont commencé la création d’une plateforme Web afin de permettre la connection d’appareils via des brokers.

Tout le code source applicatif de The Things Network est open source et disponible sur Github, pour aller de pair avec leur engagement pour permettre une vaste adoption de ces technologies.

En parallèle, une entité commerciale propose des Starter kits à visée éducative ainsi que des routeurs afin de permettre aux gens d’équiper leurs quartiers, leurs villes et d’initier le mouvement pour une couverture mondiale.

Des communautés existent déja de part le monde, principalement en Europe pour le moment. Ces communautés sont parfois à l’origine des membres de l’équipe de The Things Network, qui voyagent beaucoup afin de faire connaitre la technologie LoRa et leur projet, et parfois il s’agit d’initiatives spontanées.

A titre personnel, j’espère qu’une communauté verra le jour prochainement à Toulouse.

What every Java developer should know about AngularJS

angular

Tout est dans le titre.

Cette session était dédiée aux développeurs plus habitués aux technologies backend et qui voulaient avoir une introduction au framework le plus en vogue actuellement côté frontend: AngularJS.

Ce workshop fut l’occasion de présenter succintement les controlleurs, les scopes, les services et autres directives, sous la forme d’un mini TP.

En tant que développeur fullstack ayant des bases d’AngularJS, je trouve que ce workshop a été bien mené, en plusieurs étapes afin d’itérer et d’introduire successivement de nouveaux concepts sur le petit cas concret présenté.

Les speakers ont même fait le choix de baser le code d’exemple sur TypeScript, afin de ne pas trop perturber leur audience plus habituée aux constructions objets classiques qu’à la spécification ECMAScript. Mes co-équipiers ont pu retrouver leurs petits dans un projet architecturé sur une base d’interfaces et d’implémentations, agrémenté de types génériques et autres héritages. Ils ont cependant eu affaire à la pauvreté du tooling Eclipse pour ce qui est du développement front.

Le tooling, parlons-en justement.

Tooling

Cette année les visiteurs ont pu assister à plusieurs sessions sur l’état des outils de développement intégrés à Eclipse. Voici un petit tour d’horizon des outils dont j’ai pu avoir un aperçu lors des sessions.

JSDT 2.0

Ce talk était dédié à la présentation du la nouvelle version des JavaScript Development Tools (JSDT), actuellement en cours de développement.

Les objectifs de JSDT 2.0 sont de supporter les méthodes et outils de l’état de l’art actuel du développement JavaScript moderne.

Actuellement, JSDT 2.0 profite d’un nouveau parseur bien plus efficace que le précédent, notamment capable de supporter la spécification ECMAScript 6.

Le reste des objectifs s’axent autour de l’intégration de gestionnaires de paquets (npm / bower), des « task builders » (grunt, gulp) ainsi que le support de Node.js et l’ajout d’outils de débugging et d’intégration avec les navigateurs, notamment Chrome.

The State of Docker and Vagrant Tooling in Eclipse

Chez DocDoku nous expérimentons déjà les outils Vagrant et Docker, notamment pour nos environnements de développement et d’intégration, afin de fournir à nos équipes une infrastructure immutable et des processus de déploiement répétables.

Dans cette présentation, j’ai pu avoir un aperçu de deux plugins, l’un pour l’intégration de Docker, et l’autre pour celle de Vagrant.

En l’état actuel, ces deux plugins présentent de nouvelles « perspectives » dans l’IDE Eclipse, qui permettent de faire tout (ou presque) ce qu’il est possible de faire en ligne de commande:

  • Créer et gérer ses « box » Vagrant.
  • Configurer son Vagrantfile.
  • Créer et configurer ses machines virtuelles.
  • Créer et gérer ses images Docker.
  • Lister et manager ses containers Docker.
  • Editer son Dockerfile.

Continuous Delivery: Pipeline As Code With Jenkinsjenkins

Pour ma part, j’étais très curieux de voir ce qui allait être présenté dans ce talk. La perspective de pouvoir gérer ses builds sous forme de « pipelines » de traitements et la notion de « Continuous Delivery » (ainsi que le « Continuous Deployment » mais c’est un autre sujet) m’intéressent beaucoup.

Alors de quoi s’agit-t-il ? Principalement de ce que l’on pourrait décrire par la capacité d’orchestration, d’interruptibilité et de résilience de vos jobs de build. Rien que ça…

Comme décrit dans les slides de la présentation, que ce passe-t-il lorsque vous avez des jobs de build assez complexes, inter-dépendants, nécessitant des inputs d’opérateurs et éventuellement nécessitant de tourner en parallèle ?

Hormis le fait de créer de multiples jobs individuels que vous lierez par la suite en une cascade de builds à la chaîne, il n’y a pas de solution clé.

C’est ce problème que propose de résoudre le « Jenkins Pipeline Plugins », qui est en réalité un regroupement de plugins permettant d’orchestrer vos builds de manière plus fine. A la base de ce plugin se trouve un DSL, le « Pipeline DSL », qui permet de décrire l’enchainement des builds, sous forme d’étapes, et d’y attacher des options de configuration, comme le parallélisme pour n’en citer qu’une.

Il devient alors possible, par exemple, de configurer plusieurs dizaines de jobs similaires (à quelques variables près) formant de briques de bases (les dépendances d’un job de build suivant) et d’ordonner l’exécution de tous ces builds en parallèle, avant l’exécution du build suivant qui en dépend. Tout en spécifiant que la séquence de build complète doit stopper en cas d’échec d’un seul de ces builds de base (fail-fast).

Pour l’anecdote, le speaker a présenté exactement cet exemple, sur un cluster de build mis à sa disposition par un fournisseur « cloud » :

  • 336 CPUs
  • 1.032 TiB RAM.

Evidemment on a tous le même dans notre garage…

Quoiqu’il en soit, j’étais assez intrigué par le choix d’un DSL, en opposition à une description déclarative via des fichiers de configuration.
Il est assez facile d’imaginer comment décrire via des structures de données simples telles que des maps et des collections, l’orchestration d’un job, et la description de chacune de ses étapes.

Je n’ai pas eu de réponse claire à ce sujet, si ce n’est le poids de l’histoire : la plupart des contributeurs étant des développeurs Java, un DSL (très proche de Java d’ailleurs) semblait un choix logique.

Conclusion

Pour ma première participation à un évènement comme celui-ci, je dois dire que je suis conquis. L’organisation était parfaite et la qualité des intervenants largement satisfaisante.

J’aurai plaisir à participer de nouveau à l’EclipseCon, et je recommande à tout développeur ayant la possibilité de s’y rendre, d’y aller sans hésiter.

L’ensemble des vidéos des Keynotes et des sessions est à retrouver sur la chaine Youtube de la Fondation Eclipse, ici.

EDIT 26/07/2016:

Un nouvel article est apparu sur le site de Fondation au sujet du tooling Docker, le voici: http://www.eclipse.org/community/eclipse_newsletter/2016/july/article2.php

Retour sur l’EclipseCon France 2016

StandDocDolu

Comme l’an dernier nous étions présents à l’EclipseCon France, événement incontournable dans le milieu du logiciel libre à Toulouse. Cette année encore l’organisation était sans faille, avec une grande diversité de thèmes (modélisation, IoT, devops…), chacun représenté par des intervenants de grande qualité.DocDokuPLM

DocDoku était en effet présent afin d’y présenter sa plateforme DocDokuPLM. Ceci a donné lieu à de nombreux échanges avec des acteurs industriels de Toulouse, ce qui a permis de constater que nous sommes au coeur de problématiques essentielles telles que l’interopérabilité, l’ouverture de la plate-forme, la sémantique des modèles.

Retour sur quelques présentations auxquelles j’ai eu la chance d’assister.

La modélisation à l’honneur avec Sirius, Papyrus et Capella

La modélisation de logiciels ou de systèmes est une des problématiques majeures développées au sein de la fondation Eclipse.

Étaient présents cette années, entre autres, le CEA avec l’outil Papyrus, Obeo avec l’outil Sirius, et PolarSys avec l’outil Capella.

Chaque outil a ses particularités. Pour ma part j’ai assisté au workshop sur Sirius animé par une équipe très motivée et maîtrisant parfaitement son outil. Sirius a la particularité de permettre la définition de Domain Specific Languages pour ensuite définir des modèles dans ce langage de modélisation.

Mention spéciale à l’équipe du CEA qui est venue avec une véritable usine en Lego de fabrication de petites voitures (en Lego elles aussi), la partie logicielle étant modélisée à l’aide de Papyrus.

Papyrus

Un IoT open source et innovant avec LoRa

L’IoT était très bien représenté, avec notamment la présence de Benjamin Cabé, animateur du meetup IoT-Toulouse, et Johan Stokking, de The Things Network qui a pour but de développer unLoRa réseau mondial et libre permettant la collecte et l’échange de données provenant d’objets connectés.

Ce projet est basé sur la technologie LoRa qui permet la communication à bas débit, par radio, alternative libre à SigFox, et soutenu par une alliance d’entreprises parmi lesquelles nous retrouvons Orange et Bouygues Télécom.

Eclipse Che : la révolution de l’environnement de développement

Eclipse Che, développé par Codenvy (connu pour son service d’IDE dans le cloud) est un outil permettant de gérer des environnements de développement virtualisés dans le cloud.

EclipseCheEclipse Che permet de mettre en place dans le cloud, non seulement un IDE, mais également un environnement d’exécution et de test automatisé du code.

Ceci permet de ne pas avoir à installer tout un environnement de développement/exécution/test sur la machine de chaque développeur. L’IDE en ligne renforce également le travail collaboratif : plusieurs développeurs peuvent éditer en même temps un même fichier (comme sur Google Docs).

L’équipe d’Eclipse Che est jeune et dynamique et de nombreuses améliorations sont à venir en ce qui concerne le pair programing et les tests JUnit.

TypeScript: du typage pour améliorer la scalabilité de JavaScript

TypeScript

Saurez-vous trouver les membres de DocDoku sur cette photo ?

TypeScript nous a été présenté par Sébastien Pertus, évangéliste technique chez Microsoft. TypeScript est en effet un projet libre développé par Microsoft, principalement par Anders Hejlsberg qui est aussi le principal inventeur de C#.

TypeScriptLogoCette présentation était à la fois pleine d’humour et abordait des questions techniques pointues avec des démonstrations de programmation très pertinentes.

TypeScript est à considérer comme un langage de programmation à part entière qui est trans-compilé en JavaScript. Ce nouveau langage ajoute à JavaScript de nombreuses fonctionnalités de typage comparables à ce qu’on retrouve dans le langage Java. On peut citer le typage statique, les classes, les interfaces…

De nombreuses fonctionnalités ajoutés par TypeScript sont maintenant présentes dans ECMAScript Edition 6, mais TypeScript conserve une longueur d’avance en proposant par exemple la notion de décorateur qui permet de programmer avec des annotations. D’autres améliorations sont prévues dans la future version de Javascript comme par exemple les non nullables types.

Tuleap : l’ALM open source

Enfin, l’aspect gestion de cycle de vie des applications/gestion de projet était également présent avec Tuleap développé par Enalean. Tuleap propose un outil de gestion de projet complet intégrant tous les aspects de tous les processus de développement (Cycle en V, Kaban, Scrum, Extreme Programming etc):

  • Intégration des principaux systèmes de configuration  (Git, SVN, CVS)
  • Intégration continue (Jenkins)
  • Wiki
  • Revue de code
  • Gestionnaire de bugs
  • Gestionnaire de post-it configurable style Trello.

 

Encore un grand merci à tous les organisateurs et conférenciers de cet événement et à l’année prochaine !

2016 sera consacrée à coupler l’IoT avec notre plateforme DocDokuPLM

2016 sera consacrée à l’Internet of Things (IoT)

Comme nous l’avions en effet évoqué lors du SIANE 2015, salon des partenaires de l’Industrie du grand sud, sur lequel nous exposions au sein de l’espace de l’Usine du Futur, 2016 sera en effet consacrée à l’IoT pour DocDoku.

La problématique : comment compléter les données théoriques avec les données terrain ?

Notre équipe R&D continue en effet d’innover en travaillant sur une nouvelle brique de notre pateforme capable de rapprocher et d’analyser avec pertinence les données théoriques issues du PLM et les données captées en situation réelle (capteurs physiques restituant au travers d’un IoT gateway les données au PLM).

La demande des industriels pour l’usine du future nous conforte en effet dans notre effort pour compléter notre plateforme DocDokuPLM avec une brique dédiée notamment à la maintenance prédictive permettant ainsi d’améliorer la prédiction des pannes et d’anticiper les défaillances des équipements / produits. Mon prochain billet sera spécialement dédié à ce sujet.

Retour sur notre présence à l’EclipseCon


La seconde édition de l’EclipseCon à Toulouse les 24 et 25 juin derniers, a réuni plus de 300 visiteurs et 18 exposants, tous accueillis dans une ambiance conviviale et chaleureuse par la responsable des relations partenaires, Perri Lavergne.

DocDokuPLM plébiscité par la communauté et la presse

En tant que partenaire de l’événement, aux côtés d’Obeo, IBM, Thales, Codenvy, Eurotech, Intel ou encore Red Hat, une conférence nous a été consacrée nous permettant ainsi de faire découvrir notre plateforme à la communauté Eclipse.

Parmi les visiteurs sur notre stand, nous avons eu un échange passionnant avec Eike Stepper, Consultant Senior IT Software Architect, au sujet du projet CDO (Connected Data Objects) sur la comparaison de graphes dont l’implémentation serait appropriée aux Product Breakdown Structure de notre plateforme.

Nous avons également échangé avec Wayne Beaton, Directeur des projets Open Source de la Fondation Eclipse, au sujet de l’étendue de  l’écosystème Eclipse et de ses nombreuses applications dans l’industrie.

Enfin, les journalistes de Linux Magazine et de L’embarqué étaient également au rendez-vous et en ont profité pour en savoir davantage sur DocDokuPLM.

Des conférences autour de projets novateurs Eclipse

Parmi les différentes conférences données lors de la convention, nous avons pu assister à celle du projet Oomph: l’installateur Eclipse. Celui-ci permet aux nouveaux utilisateurs dès leur première utilisation, des fonctionnalités poussées d’Eclipse. Permettant ainsi une installation très facile et des mises à jour automatisées, l’installateur est aussi capable de paramétrer très facilement son environnement de travail.

Un autre projet très prometteur nous a été présenté: Eclipse Che. Il existe déjà depuis quelques temps, et la société Codeenvy offrant une plateforme de développement nous a présenté tout son potentiel.

En couplant Eclipse Che à Docker, logiciel open source qui automatise le déploiement d’applications dans des conteneurs logiciels, Codeenvy propose un environnement de travail en ligne, déjà paramétré pour tout nouvel utilisateur. L’utilisation via github étant déjà intégré par le système de pull request (demande de validation de mise à jour), cet outil pourrait être l’avenir pour les projets open source.

Nous avons enfin assisté à des conférences autour d’Eclipse sur notamment de nouveaux plugins, l’intégration des technologies IoT dans Eclipse, la communauté et comment participer au projet. Nous avons particulièrement apprécié la conférence sur la place de l’informatique dans les énergies renouvelables : comment celles-ci peuvent-elles répondre aux problématiques que posent l’intégration des énergies renouvelables dans notre consommation et quelles sont les perspectives que l’on peut avoir à court et long terme ?

Pour finir, nous souhaitons remercier l’équipe de la Fondation Eclipse ainsi que les intervenants pour leur accueil et leur dynamisme.

Projet d’innovation : revue de conception produit en temps réel sur le web

Depuis début 2014, nous travaillons en collaboration avec l’IRIT et plus particulièrement l’équipe Vortex, sur un projet de recherche appliquée dans le cadre de l’appel à projets régional Agile IT 2013.

Objectif du projet

L’objectif de ce projet était de créer un Environnement Virtuel Collaboratif (EVC) rendant accessible, manipulable et modifiable la maquette numérique des produits à tous les métiers de l’entreprise.

D’un point de vue logiciel, il s’agissait donc de développer le module web pour :

  • la visualisation collaborative 3D web temps réel,
  • l’édition et la manipulation web de pièces 3D.

Utilisable depuis un navigateur internet, sans qu’il soit nécessaire d’installer le moindre plugin, ce composant logiciel fait donc partie intégrante de notre plateforme digitale open source DocDokuPLM

Fonctionnalités et bénéfices

Bien plus qu’un simple partage d’écrans, notre plateforme permet donc désormais à la fois de réaliser le design du produit en 3D tout en gérant son cycle de vie depuis le même outil, accessible de n’importe où au travers de votre navigateur.

Véritablement extensible, ce module permet de gérer plusieurs EVC (room en anglais) avec plusieurs utilisateurs simultanés. Entièrement développé grâce aux nouveaux standards du Web, ce dernier ne nécessite aucune installation complémentaire.

De plus, ce module offre toute la sécurité que l’on peut en attendre : les participants invités sur l’EVC (ou la room) pour la revue n’auront jamais accès aux documents ou articles sur lesquels ils n’ont pas les droits d’accès.

La vidéo ci-dessous (filmée par téléphone) montre l’utilisation de cette fonctionnalité.

L’ordinateur de droite initie la réunion de groupe (EVC ou room) et invite les utilisateurs connectés (sur l’autre PC à gauche).

Nous vous invitons également à découvrir gratuitement tout cela en créant un compte et un espace de travail sur notre plateforme cloud : http://www.docdokuplm.net

Interviews DocDoku & Aerospace Valley

François Dorgeret, en charge des projets innovants au sein du pôle Aerospace Valley, et moi-même avons participé à une interview dans le cadre du salon SIANE 2014.
L’occasion pour nous de présenter notre vision de l’usine du future et la manière dont elle est abordée au sein de son DAS chez Aerospace Valley.

Salon SIANE – Retour sur la 3ème nuit de l’ingénierie « Usine du Futur »

A l’occasion du salon SIANE, le 22 octobre se tenait la 3ème nuit de l’ingénierie.

Une centaine de personnes était présente pour échanger autour du thème de l’Usine du Futur.

Invité par la Société Nationale des Ingénieurs de France, nous avons eu l’occasion de présenter les apports technologiques potentiels de DocDoku aux usines du futur pour qu’elles soient numériques, connectées, intelligentes tout en restant humaines.

Michel Roboam, directeur de l’ingénierie de production chez Airbus, nous a décrit la vision de l’avionneur quant à l’usine de 2020. La voici en images :


La confirmation que l’Usine du Future sera sans aucun doute une usine numérique et digitale, connectée au système d’information de l’entreprise étendue, afin d’apporter toute l’intelligence nécessaire à l’homme pour améliorer sa productivité, garantir la qualité de production et ainsi la compétitivité de son entreprise. En résumé, une usine qui sera capable de diffuser les bonnes informations (produit et processus) au bon moment et aux bonnes personnes dans la chaîne de valeur.

Point Eco – Cap sur l’usine du futur dans l’entreprise DocDoku

Lundi matin, nous avons eu l’honneur de recevoir dans nos locaux l’équipe de TLT avec Boris Georgelin ainsi que la CCI de Toulouse représentée par son Président Alain Di Crescenzo et son Vice-Président Bernard Ourmières.

Diffusé à plusieurs reprises sur TLT cette semaine, l’objectif était le tournage du magazine bimensuel « Point Eco », qui propose un regard expert sur l’économie à Toulouse.

Le thème abordé pour cette quinzaine étant l’usine du futur, Florent Garin et toute l’équipe ont été sollicités pour présenter les apports technologiques de DocDoku sur ce sujet d’avenir à construire dès maintenant :

Salon Innovation Connecting Show de Toulouse du 16 au 18/09/2014

Nous avons en effet exposé pendant ces trois jours sur le salon international Innovation Connecting Show de Toulouse du 16 au 18/09/2014.

Au programme de ce salon : conférences, pitchs et démonstrations de notre technologie sur notre stand.

J’ai également eu le plaisir de répondre aux questions de la ravissante Ginie sur le plateau TV du salon :

Interview Eric Descargues – plateau TV salon Innovation Connecting Show 2014 from DocDoku on Vimeo.

Notre agrément CIR renouvelé jusqu’en 2016

AgrementCIR-DocDoku

Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche nous a octroyé à nouveau l’agrément Crédit d’Impôt Recherche (CIR) pour une durée de trois ans (2014, 2015, 2016) comme il l’avait fait pour 2011, 2012 et 2013.

Cela signifie que DocDoku est reconnu comme organisme ayant la capacité à mener des travaux de Recherche et Développement (R&D) et que toutes les dépenses de réalisation d’opérations de R&D confiées à DocDoku ouvrent droit au Crédit d’Impôt en faveur de la Recherche, dans les mêmes conditions que pour des investissements internes.

Pour rappel, le CIR est un dispositif d’incitation fiscale en faveur de la recherche et de l’innovation. Il permet aux entreprises de bénéficier d’un crédit d’impôt correspondant à un pourcentage du montant des dépenses investies dans l’année en recherche et développement. Cet avantage fiscal varie entre 30% et 50% de Crédit d’Impôt sur les dépenses engagées pour les projets éligibles (voir conditions sur le site du Ministère).

Vous n’avez donc plus aucune excuse valable pour ne pas vous lancer dans de nouveaux projets R&D puisque ces derniers peuvent faire l’objet d’une prise en charge substantielle par l’Etat au travers du Crédit d’Impôt Recherche lorsque vous passez par notre intermédiaire.

Pour toutes questions sur vos projets innovants, n’hésitez pas à nous contacter.

Salon Solutions Linux, Paris les 28 et 29 mai 2013 : découvrez notre solution innovante DocDokuPLM

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Nous serons présents au salon Solution Linux & Open Source les 28 et 29 mai 2013 au CNIT – Paris La Défense.

Venez donc nombreux sur notre stand (D12) découvrir notre solution innovante DocDokuPLM qui vous permet, entre autres, depuis un simple navigateur (sans auncun plugin ou installation) et depuis n’importe quelle plateforme (PC, Mac, Tablette, Smartphone) de :

– Visualiser vos modèles 3D.

– Collaborer par chat et visio-conférence.

Cliquez ici pour obtenir votre badge d’accès gratuit.

Retour sur le salon SIANE 2012 avec DocDokuPLM

Exposant pour la première année sur le salon SIANE (Salon des Partenaires de l’Industrie du Grand-Sud) qui avait lieu du 23 au 25 octobre 2012 au Parc des Expositions de Toulouse, je vous propose ici notre REX sur ce salon.

Stand SIANE-DocDokuPLM

Notre première participation était pour nous l’occasion de continuer de promouvoir au sein du tissu industriel régional, national et international notre solution innovante DocDokuPLM et donc également de capter sur le terrain les besoins des industriels en matière de PLM.

Nous avons ainsi rencontré un grand nombre d’industriels et de partenaires sur ce salon, ce qui nous a réellement permis de confronter les besoins concrets des entreprises avec notre solution innovante de PLM. Il est en effet toujours indispensable de garder à l’esprit que la technologie n’a de réelle valeur que si elle est au service des usages.

En résumé donc, je retiendrais que les industriels sont très captifs au fort ROI que propose notre solution Open Source.

En effet, nous avons noté que trois éléments technico-économiques ont retenu l’attention de tous nos visiteurs lors de ce salon :

– la possibilité de visualiseur tous types de modèles  3D  (Catia, Inventor, AutoCAD, NX…) sur tous types de terminaux (PC/Mac/Tablettes/Smartphones) directement dans le navigateur internet sans aucune installation ou plugin,
– notre modèle de coût non proportionnel au nombre de postes déployés puisque aucun déploiement nécessaire (donc pas de coût de licence, modèle Open Source), ceci permettant de ne pas limiter les usagers et les usages pour encore plus de ROI,
– la facilité d’intégration de notre solution moderne et résolument orientée web et cloud-ready avec l’existant (CAO, autre PLM, ERP, applications métiers…).

Mais nous avons surtout constaté que les avantages technico-écoonomiques de notre solution procurent une réelle valeur ajoutée métier au sein des industries puisque capables de susciter des nouveaux usages :

– pour le partage des données autour des modèles 3D dans un contexte d’entreprise encore plus étendue (entre clients, fournisseurs et partenaires) grâce au cloud,
– pour une meilleure information produit en situation de mobilité lors des phases d’assemblage et de maintenance,
– pour les managers souhaitant visualiser simplement l’avancement du produit, le montrer et communiquer atour de ce dernier,
– pour le marketing et les commerciaux pouvant enfin disposer simplement depuis n’importe où de la dernière version produit en clientèle !

Enfin, nous avons également relevé une fonctionnalité qui nous a été demandée à plusieurs reprises et qui sera donc prochainement incluse dans notre roadmap  : la possibilité d’effectuer des relevés ou mesures 3D des produits directement sur le modèle 3D, très utile pour les opérationnels mais également pour les utilisateurs devant réaliser des devis et tarifer selon les dimensions des solides.

Bilan extrêmement positif et enrichissant donc pour ce salon SIANE 2012 avec quelques contacts très intéressants à approfondir !

Pour information, le prochain salon où nous serons présent avec DocDokuPLM est un salon international plus orienté grands comptes de l’aéronautique et du spatial,du 4 au 6 décembre 2012 à Toulouse : Aeromart 2012.